Et si mickey était dans la confidence?
Oui c'est beau comme tout... Comme quoi ça n'arrive pas que dans les dessins animés...
Oui c'est beau comme tout... Comme quoi ça n'arrive pas que dans les dessins animés...
Il faisait nuit à présent. Allongé sur le dos il sentait les grincement du bois de leur embarcation. Elle était là, au dessus de lui, éclairée par la lueur bleutée d’une lune qui semblait anormalement grosse. Cette lumière délicate se déposait sur son visage si parfait. D’un geste léger, elle déposa alors sa main douce et froide sur sa poitrine. Il sentit ses entrailles se soulever. Comme si son être entier voulait lui donner un peu de sa chaleur. Leurs pensées se mêlèrent alors, comme emporté par l’instant, ils ne firent plus qu’un. Leurs corps se laissèrent aller à une autre mélodie. Comme si un jour nouveau venait de naître, perçant la nuit de leurs malheurs passés. Tout était simple comme s’ils se découvraient pour la première fois… Une étreinte qui restera à tout jamais figée.
Instant dépression ...
Tant de pression dans mon cœur...
Tant d'idées inverses qui tournent dans mon esprit...
Çà allait mieux ces derniers jours...
Aujourd'hui pas du tout...
Ça va passer... ça finira par passer...
Et qui sait de quels bonheur l'avenir sera fait !
Comme dans un jeu vidéo...
Il pense qu'il doit sauver la princesse Peach du méchant Browser...
Il pense qu'il y a des gentils et des méchants... Que celui qui gagne est le gentil...
Peut-être oublie-t-il de demander à la princesse si elle à simplement envie d'être sauvée...
Tout n'est pas noir tout n'est pas blanc... Personne ne connait son propre camp...
Le plus sage c'est peut-être "le grand méchant" qui laisse la princesse libre de vivre dans sa forteresse de solitude.
Libre d'être elle même...
Il ne souhaite pas se battre contre un enfant qui se cache encore derrière un écran de fumée...
Contre ce petit plombier qui n'a pas sut grandir car on l'a trop tenu par la main un de ceux qui pensent que d'un coup de champignon magique il va devenir grand et qu'il aura tout ce qu'il désire sans s'intéresser à ce que les autres veulent et ressentent...
La vie ce n'est pas un jeu vidéo...
Je ne cherche pas à me battre juste à la rendre heureuse...
Quitte à en souffrir...
Même si mes sens sont encore absents...
J'avance, je fonce, je vole, je virevolte sur toutes ces notes dans la valse de ma vie.
Je profite de chaque instant, je mords la vie à pleines dents.
J'apprécie ceux qui m'entourent, m'aiment et me réconfortent,
Je leur rend bien la pareille et m'occupe d'eux quand ils m'appellent
Simplement par plaisir de faire plaisir.
J'ai arrêté de penser... Mais que peuvent ils bien en penser.
J'ai juste envie de vivre... Plus de survivre
Je suis bien mieux comme ça!
Tout droit...
Je vais de l'avant en essayant ...
De m'affranchir de cet avant,
De ce temps où nous étions deux.
Où je pensais vivre heureux.
Il a suffit de ton absence,
pour que me manque ton insouciance,
tes rêves et ta science...
Tout moi...
Aujourd'hui je sais ce que je vaux,
Mes qualités et mes défauts.
Je t'aimais mais ne le savais plus,
car moi même... j'étais perdu.
Celui que tu as laissé a grandit,.
Il n'est plus tout à fait celui,
Avec qui tu avais fait ta vie...
J'ai mes désirs et mes envies...
Tout est là...
Je suis capable de me prendre en main,
D'avoir une vie que j'assume enfin.
Je ne fais pas pour qu'on m'apprécie,
mais aussi parce que j'aime ma vie.
Toutes ces années dans tes bras...
Tout ce temps, je n'étais pas moi
Et les seuls instant où tu m'aimais
Étaient ceux où je l'étais...
Tout ça...
J'arrive enfin à me reconstruire
Pour le meilleur pas pour le pire
J'ai envie de voir l'avenir,
avec le plus grand des sourires;
avec les plus longs des soupirs;
Avec mes envies de m'enfuir
dans mes simples petits plaisirs
Tout bas...
Je me sens mieux que jamais,
Et à présent tu le sais
Je vis aussi bien sans toi
Je suis heureux d'être moi
D'avoir enfin trouvé ma voie
Je n'ai plus de peur qu'on ne m'aime pas
Ta pitié je n'en veut pas
Je veux qu'enfin tu me vois
Tout tourne ...
Trois petit tour et puis s'en vont!
Les sentiments et les passions,
Reviennent toujours au point de départ.
Je suis moi ce n'est plus rare
Un demi tour et arrêtons
Au sommet de la passion
La grande roue de nos grands soir
Si l'on décide de se revoir ...
Tout tourne...
SI... l'on décide de se revoir ...
Tobias se dressa haletant …dans un sursaut…C’était comme une
explosion…
Qu’est-ce que ce bruit ?
Ses yeux s’habituaient progressivement à la lumière froide que déposait le ciel irisé de cette nuit glaciale à la surface de la terre. Il avait l’oreille à l’affût du moindre son.
Etait-ce dans son rêve ? L’avait-il imaginé ?
Le jeune chasseur de gemme était seul dans cette étendue
désertique. Des fragments de roche gisaient éparses, comme sortis de nulle
part, ponctuant le sable clair de taches sombres. Il avait l’habitude de les
scruter un à un lors de ses excursions dans le désert du Vassud. Sa tache
consistait à retrouver parmi ces pièces de roc celles qui présentaient un
intérêt. Il avait l’habitude de ce décor vide et silencieux.
Après avoir balayé les alentours, son regard se porta vers la voûte céleste.
Les étoiles scintillaient régulièrement d’un éclat bleuté. Son regard profond
s’attardait sur quelques unes d’entre elles tout en balayant l’horizon face à
lui.
Ce son provenait-il de là haut ?
Enveloppé dans ses couvertures jusqu’aux oreilles, ses yeux
profonds cherchaient dans le ciel une singularité comme ils avaient l’habitude
de le faire avec les pierres du désert. Il perçut un léger bourdonnement. Le
bourdonnement se changea en grondement, un grondement qui remplissait l’air. Il
pouvait sentir la vibration sur sa peau. Ses poils se hérissèrent. Il se dressa
d’un bond agile sur ses deux jambes laissant les pièces de tissus qui le
couvraient s’échouèrent à ses pieds. Il tournait sur lui-même pour déterminer
l’origine de la vibration.
Ses sens lui jouaient-il un mauvais tour ? Devenait-il fou ?
Son cou et son dos s’arquèrent alors pour observer au dessus. C’était là…le point lumineux d’une taille à peine plus grande que celle d’une étoile grossissait à vue d’œil. Plus il approchait plus les détails apparaissaient. Sa couleur passa du blanc au bleuté, de petites flammes jaunes semblèrent se dessiner à sa base. Plus l’objet enflait plus le son envahissait l’espace. Le sol sous ses pieds oscillait légèrement. Des creux et des bosses se dévoilaient à la surface de l’objet, il comprit alors …
C’était un rocher qui descendait du ciel…
Le Météore était immense, entouré d’un halo de lumière et de
flammes incandescentes. Il tombait tel un morceau de ciel qui s’était détaché.
Comme attiré par la gravité. Il grandissait vite… maintenant il faisait la
taille de l’une de ses mains. Bien qu’il grossissait, il ne bougeait pas…
S’il ne bouge pas … C’est probablement que…
Courir, il courait à perdre haleine. Il fuyait sa vie sur laquelle le ciel tombait, il avait tout laissé, là, sur place. Il s’échappait, se ruant hors de ce piège, s’écartant de cette fin sombre. Y parviendrait-il ? Il ne le savait pas mais il courrait. Il voulait revoir ces petits bonheurs simples de la vie, revoir les sourires qu’il aimait tant, revoir ces yeux pleins de larmes, revoir la course effrénée du temps changer tout ces êtres auxquels il tenait. Il souhaitait plus que tout au monde s’échapper, mais ce qui lui tombait dessus était si énorme. Dans sa fuite il avait oublié l’essentiel à sa survie dans le désert. Ce qui importait c’était de tenter de vivre maintenant. La suite, il s’en accommoderait. Courir, l’air fouettait ses joues, et lui piquait les yeux, un feu envahissait ses poumons, tous ses muscles étaient tendus raidis par l’effort. Un seul but, l’horizon, le lendemain.
Tenter de ne pas se laisser submerger par la peur, ne pas revoir sa vie toute entière défiler sous ses yeux.
Il avait parcourut plusieurs centaines de mètres, un point de côté commençait à percer son côté, il ne ralentissait pas, tout vibrait, le sable s’enfonçait, il semblait ricocher dessus dans sa course effrénée. Il heurta une pierre, virevolta, s’effondra sur le côté et entraîné par la vitesse il s’enfonça dans le sable. Du sang bouillant, ruisselait sur son tibia.
Il fallait se relever.
Il se retourna pour prendre ses appuis. C’était trop tard.
La comète s’enfonçait dans le sol, une vague immense soulevait la terre. Dans
un fracas indescriptible, le rocher se brisa. Des éclats volèrent de toutes
parts. Les plus gros restèrent sur place, les plus petit semblèrent s’envoler
avec une légèreté surnaturelle. De la poussière se souleva devant la vague
provoquée par l’onde de choc. Le sable et le souffle lui brûlèrent les yeux.
Des petits fragments le piquèrent de toute part. L’un d’eux se ficha dans son
flanc. Un rocher d’une dizaine de mètres de diamètre s’écrasa à quelques pas et
explosa. Il était figé. Un roc de la taille d’un poing fonçait vers lui. Il était
figé, hypnotisé par sa vitesse, paralysé par cette image. La pierre le heurta
au front. Il s’effondra.
Allongé dans les débris, la poussière de pierres, de rochers et d’étoiles se déposait sur son corps. Il gisait là, au milieu de ce désert qui le faisait vivre, au milieu de sa vie, au centre de son monde un cratère avait déformé l’espace plan. Le sang s’écoulait de sa tempe sur le sable qui l’absorbait. Il gisait là, impuissant. Il avait froid. Ses paupières clignèrent. Ses yeux se clorent.
Je me posais
une grande question métabolique tout à l'heure je me suis rendu compte
que les odeurs avaient une très forte tendance à me rappeler un moment
de mon enfance, plus parfois que des photos, est-ce que la zone du
cerveau liée à la mémoire et celle liée au sens de l'odorat sont
étroitement liées ?
Bref tous ces souvenirs qui vous reviennent en cascade à partir d'une simple odeur...
L'odeur
des pins me rappelle des vacances près d'aix en provence chez mon grand
père vue sur la montagne sainte victoire et jeux avec mes cousins...
L'odeur du lys me rappelle fait penser au soleil qui innondait la petite fenètre de ma chambre à l'arrivée du printemps...
L'odeur de la pluie sur le goudron chaud me rappelle mon premier vrai baiser d'amour...
Un parfum ... l'amour de ma vie alors qu'elle n'aimait pas ça...
L'odeur de l'iode me rappelle le bleu, le grand le large...
La cannelle et la muscade me rappelle les jus fruités de maracudja de la guadeloupe où j'ai vécu...
La
lavande quand à elle me rappelle simplement des toilettes vous pourrez
dire merci à la mode des parfums d'ambiance à la lavande au début des
années 90...
Et vous des odeurs dans la tête ?
Un regard vers le
ciel et il comprit, les renforts n'allait pas tarder. Un sourire se
dessina sur ses lèvres, jusqu'à présent tout semblait perdu, ses
compagnon s'écroulaient les uns après les autres sous les traits de ses
assaillants. Mais à présent, dans le ciel le minuscule point grandissait
comme l'espoir dans les yeux des alliés jusqu'à ce qu'on distingue
clairement les voiles, puis les cinq mats du navire de la flotte
actarienne...
"Préparez
les arbalètes et les trébuchets, couvrez l'arrière de la colline
pendant que les fantassins s'occupent de repousser les intrusions"
jeta-il en tirant l'immense espadon de son dos... cette fois-ci il ne
fallait pas commettre d'erreur, il en allait de l'issu de la bataille.
S'ils voulaient être libre, il fallait gagner cette bataille quelque
soit le prix à payer...
C'est maintenant et tout de suite...
C'est pour l'instant que j'en profite...
C'est pas le bon moment pour se dire que le temps passe vite...
(Volo)
Elle avait le cœur scellé car il était l'image de celui qui la rendait plus grande...
Elle l'admirait car il était plus vieux et semblait plus mur, et ce uniquement car il était de trois années son ainé.
Il lui faisait miroiter des rêves d'un avenir qu'il ne voulait pas lui donner...
Elle voulait tellement y croire qu'elle l'a idéalisé :
Elle l'adulait ... Il en profitait...
Il partait ... elle le laissait faire...
Elle se reconstruisait... Il l'appelait ... Elle accourait aussitôt...
Ensemble, ils n'avaient rien vécu de beau,
Elle avait espéré ... Il avait profité d'elle pour combler ses moments de solitude...
Elle a bien tenter de passer à autre chose mais elle gardait pour lui cette profonde admiration et cet amour immodéré...
Elle préférait se le cacher que de l'admettre... Elle n'osait pas se reconstruire... Il pouvait toujours revenir... Il reviendrait..
Elle n'avais plus envie de souffrir et préférait construire des châteaux de cartes sans importance que de s'engager...
Elle les regardait un à un s'effondrer sans s'en soucier d'avantage...
Évidemment, elle essayer de donner l'impression que tout allait...
Mais elle évitait le bonheur à tout prix...
Un an a passé depuis leur dernier rendez-vous...
Elle a toujours la gorge qui se serre quand elle parle de lui...
Elle n'arrive pas à pleurer... C'est trop dur de laisser ses sentiments s'enfuir...
Il n'y a jamais rien eu de grand entre eux... Et pourtant, elle n'arrivait pas à l'effacer...
Elle ne le savais pas mais elle l'aimait encore... Si elle le savait elle aurait put l'oublier...
Ils s'étaient aimés dès le premier instant, ils se respectaient,
Ils se comprenaient dès le premier regard sans s'en rendre compte.
Ils avaient joué ensemble si longtemps, ils s'étaient aimés détesté, adorés, ignorés et aimés à nouveau.
Il savait la comprendre, la rassurer et la protéger... elle savait lui donner l'impression qu'il avait de la valeur...
Il connaissait ses soucis... Les acceptait... même si ce n'était pas toujours facile...
Il n'était pas sur de lui ... Elle le comprenait...
Ils n'avaient besoin de rien d'autre...
Mais voilà, les difficultés, le temps et la distance les as éloignés ... Les a fait douter...
Certes, ils ont commis des erreurs, chacun à leur façon... Il a fuit qui il était... Elle s'est laissée submerger...
Tout était grand entre eux ... Arriveront-ils a s'oublier?